Participer activement – avec les moyens adaptés nécessaires – à l’élaboration et la mise en œuvre des lois et des politiques publiques ainsi qu’à l’adoption de toute décision sur des questions pouvant concerner de près ou de loin les personnes
autistes ; en référence aux articles 4.3 et 29.b de la Convention Internationale des Droits des Personnes Handicapées (CIDPH) de l’Organisation des Nations Unies (ONU).

Promouvoir le savoir expérientiel et veiller à sa juste reconnaissance et valorisation, tout domaine confondu.

Contribuer à la diffusion de l’information, la réalisation de sensibilisations ainsi que la création et l’essaimage de formations initiales et continues. S’assurer tout particulièrement de leur conformité avec les recommandations des bonnes pratiques
professionnelles de la Haute Autorité de Santé (HAS) et des données et avancées de la science internationale concernant le Trouble du Spectre de l’Autisme (TSA) et les autres Troubles du Neuro-Développement (TND).

Soutenir la recherche, rendre effective la recherche participative, et s’assurer que les chercheurs œuvrent pour les personnes de l’ensemble du spectre de l’autisme ; NB : mêmes exigences qualitatives et scientifiques que celles mentionnées pour les formations.

Initier, participer et/ou apporter son soutien à toute action visant à favoriser la qualité de vie des personnes en situation de handicap, notamment autistes.

De manière transversale, veiller à ce que les personnes de l’ensemble du spectre de l’autisme bénéficient des droits, moyens, avancées, services, reconnaissances (…) indispensables à leur développement et leur épanouissement.

Avoir la possibilité d’ester en justice ; voir précision dans le règlement intérieur.